Au début de la IIIe République et bien avant, la question du minimum de connaissances que l’enseignement primaire doit transmettre à ses élèves a fait l’objet de réflexions poussées, de controverses qui traduisent, par leur hauteur et leur largeur de vue, la recherche d’un idéal.
Il s’agissait du socle commun, à une époque où l’on parlait simplement français, sans recourir aux subterfuges de la communication.
Najat Vallaud Belkacem a clos le chapitre du socle commun, mais la question reste posée.
SOMMAIRE
Un certain nombre des informations que nous présentons proviennent de l’ouvrage de Claude Lelièvre « L’école obligatoire, pour quoi faire ? Une question trop souvent éludée » Ed. Retz 2004.