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6 propositions semblent en rapport avec l’enseignement primaire et secondaire.

Beaucoup de généralités, peu de faits, rien sur la formation des enseignants.

Proposition (1) Assurer la transmission des connaissances par le renforcement des apprentissages fondamentaux (français, histoire, calcul). À l’école primaire, réserver la moitié du temps d’enseignement au français, à l’écrit comme à l’oral. Supprimer « l’enseignement des langues et cultures d’origine » (ELCO).
Depuis septembre 2016, les ELCO sont en voie de disparition.
C’est bien de parler de la transmission des connaissances et des fondamentaux. Mais cela ne servira à rien si on n’interdit pas les pédagogies dont la nocivité est largement prouvée.

Proposition (2 Faire de l’école un « asile inviolable où les querelles des hommes n’entrent pas » (Jean Zay), donc en y imposant non seulement la laïcité, mais également la neutralité et la sécurité.
Oui

Proposition (3) Rétablir l’autorité et le respect du maître et instaurer le port d’un uniforme à l’école.
L’autorité des enseignants est d’abord fondée sur leurs savoirs.
Il y a beaucoup à faire dans ce domaine !

Proposition (4). Revenir sur la réforme des rythmes scolaires.
Il faut revenir sur presque tout ce qui a été fait au cours du présent quinquennat : refondation de l’école, réforme du collège, etc. etc.

Proposition (5)  Rétablir une véritable égalité des chances en retrouvant la voie de la méritocratie républicaine.
La candidate aurait pu affirmer la condition essentielle : créer de vrais examens, objectifs, neutres, fiables et constants.

Proposition (6) Développer massivement l’alternance (contrat d’apprentissage, contrat de professionnalisation) dans l’artisanat, le secteur public et privé et rendre la formation professionnelle plus efficace, moins opaque et moins coûteuse.
On note l’oubli de tout ce qui concerne le préapprentissage et l’alternance au collège.