Du 16 au 18 mai s’est déroulé à Strasbourg le XVIIIe Congrès National de l’APEL. Ce rassemblement avait pour thème : " Parent d’élève : un métier d’avenir ? ".
En conclusion de l’évènement, l’association a organisé une table ronde autour du numérique à l’école. L’invité principal de ce débat était le chercheur/professeur Marc Prensky. Deux étudiants et deux parents d’élèves de Haute-Loire ont été conviés à débattre avec lui.
Le professeur Prensky, ardent défenseur du numérique à l’école et inventeur de l’expression " Digital Native ", a soutenu que les enfants pourraient, et devaient, s’épanouir grâce au numérique, que les enseignants et parents devaient l’y éduquer et qu’aujourd’hui ce numérique faisait partie intégrante des dernières générations. Il a aussi avançait que la réticence des parents vis à vis du numérique n’était autre qu’une peur de l’inconnu.
Certains autres protagonistes ont soutenu des avis bien différents. Tout d’abord, il a été dit que le numérique isolait les jeunes en les nourrissant de l’illusion d’être " connectés " à l’extérieur. Ensuite, il a été soulevé que le numérique limitait l’imaginaire de l’enfant, et cela jusque dans l’apprentissage, par exemple en mathématique ou l’enfant à besoin de voir dans un espace qui est complètement limité par un écran, de même pour l’écriture dont l’apprentissage passe par un geste de la main et non par la pression d’une touche. Enfin, une dernière réaction soulevait le fait que le débat sur le numérique était un faux débat dans le sens ou si l’on se concentre sur une instruction saine, efficace et de qualité, le numérique se trouvera naturellement intégré au savoir de l’enfant.
Certains autres protagonistes ont soutenu des avis bien différents. Tout d’abord, il a été dit que le numérique isolait les jeunes en les nourrissant de l’illusion d’être " connectés " à l’extérieur. Ensuite, il a été soulevé que le numérique limitait l’imaginaire de l’enfant, et cela jusque dans l’apprentissage, par exemple en mathématique ou l’enfant à besoin de voir dans un espace qui est complètement limité par un écran, de même pour l’écriture dont l’apprentissage passe par un geste de la main et non par la pression d’une touche. Enfin, une dernière réaction soulevait le fait que le débat sur le numérique était un faux débat dans le sens ou si l’on se concentre sur une instruction saine, efficace et de qualité, le numérique se trouvera naturellement intégré au savoir de l’enfant.
Chacun des protagonistes au débat est resté sur ses positions de départ. Toutefois, la vrai question est de savoir si le public a été convaincu. En tous cas, ses réactions, parfois un peu déplacées, ont montré qu’il était tout à fait partagé.
Simon G.
Lire notre dossier sur le numérique à l’école
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